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A la découverte de… La maison du loch

Il était une fois… un site aulroposant des livres personnalisés. Parmi ces livres, on peut découvrir une romance personnalisée intitulée La maison du Loch, écrite par Ann Morton, interviewée sur le blog. Ce mois-ci, nous vous proposons de découvrir le premier chapitre de cette belle histoire d’amour à personnaliser. Un roman qui ferait une belle idée cadeau pour la fête des mères. Suivez le guide !

romance personnalisée la maison du loch

La maison du Loch est une romance à personnaliser de l’auteur Ann Morton, éditée chez CreerMonLivre.Com. L’histoire prend place dans un contexte contemporain et a pour personnage principal une femme célibataire qui, épuisée par une année difficile, décide de prendre des vacances en Ecosse. Elle va louer un charmant petit cottage et rencontrer un voisin au premier abord peu sympathique. Mais c’est sans compter sur les vieilles légendes qui vont les pousser à se rapprocher…

Découvrez dès maintenant le premier chapitre de cette histoire romantique à souhaits, un cadeau idéal pour une femme à personnaliser avec son prénom, ses petites habitudes et bien sûr son amoureux.

Chapitre 1

Alice n’en croyait pas ses yeux.
Elle avait ouvert ses volets sur un paysage à couper le souffle.
Face à elle, une prairie en pente douce descendait jusqu’à un lac aux reflets d’argent sous la lumière automnale. La vue portait loin et la ligne d’horizon n’était brisée que par un banc de bois blanchi par le temps qui faisait face au lac, à mi-chemin entre ses berges et le cottage où elle logeait.
Elle entendait des moutons bêler sans les voir.
Elle inspira profondément. L’air vif et sec lui piqua les poumons, mais la sensation ne fit qu’amener un sourire à ses lèvres.

La veille au soir, elle était arrivée trop tard pour voir ne serait-ce qu’au-delà de son paillasson. Son vol pour Edimbourg avait été retardé pour cause de brouillard – une condition climatique pourtant des plus banales dans cette région du globe – et le temps de récupérer bagages et voiture de location, il était plus de 20 heures.
Elle avait roulé lentement, hésitante, mal à l’aise aux intersections avec la conduite à gauche. Les ronds-points, notamment, lui semblaient particulièrement difficiles à négocier. Pour couronner le tout, la pluie tombait sans interruption, noyant un peu plus le paysage et les maigres repères que Alice espérait trouver sur sa route pour arriver sans encombre à destination.
Deux heures plus tard, elle s’engageait enfin sur le chemin menant au domaine où elle devait passer ses vacances.
Elle avait été accueillie par les aboiements d’un chien de berger invisible et avait fini par découvrir scotchée sur la porte du cottage qu’elle avait loué une note détrempée et dans laquelle le propriétaire des lieux lui expliquait dans un français hésitant qu’il avait eu à faire et n’avait pas pu l’attendre. La porte était donc ouverte et elle trouverait la clé à l’intérieur.
Elle avait bien un peu maugréé sur ce manque de délicatesse. Si Paul Douglas s’imaginait qu’elle arrivait aussi tard parce qu’elle s’était amusée à s’arrêter en route pour photographier le paysage, et bien, il se trompait lourdement ! Et puis, où était passé le reste de la famille ? Tous en train de traire les vaches ?
Mais une fois la porte poussée, sa mauvaise humeur s’était immédiatement dissipée.
Le cottage était tout simplement douillet à souhait et le charme qui se dégageait des lieux allait bien au-delà de ce à quoi elle s’était attendue.
Un feu brûlait dans la cheminée de la pièce dans laquelle elle venait d’entrer, projetant une douce lumière et une agréable chaleur. Un grand sofa de cuir un peu avachi lui faisait face, un plaid écossais délicatement plié sur son accoudoir.
Alice avait laissé tomber son sac à ses pieds. Elle s’était retournée pour fermer la porte et avait retiré ses chaussures humides. Elle avait hâte de faire le tour du propriétaire.

Elle n’avait pas été déçue.
À sa gauche se trouvait la porte qui menait à une cuisine de bonne dimension. Sur la table de chêne, elle découvrit le trousseau de clés promis et une bouteille de vin rouge débouchée. Finalement, ce Douglas n’était peut-être pas un rustre, s’était-elle surprise à penser. Ou sa femme savait recevoir, elle.
Alice était revenue sur ses pas. De l’autre côté de la grande pièce, elle avait découvert une nouvelle porte qu’elle s’était empressée de pousser. Derrière se trouvait une chambre des plus ravissantes et sa salle de bains. Le lit, de bonne dimension, croulait sous des oreillers de tailles et formes variées. Une douce couverture angora aux tons pastels recouvrait élégamment la couette blanche. Une petite lampe de chevet à l’abat-jour liberty était allumée.
Dans la salle de bains, l’enchantement perdurait : une grande baignoire, des murs lambrissés aux chaudes couleurs du bois, des serviettes de toilette moelleuses et un immense peignoir blanc ne demandaient qu’à servir. La pièce sentait le pin.
Heureuse des résultats de son inspection, Alice était retournée dans le séjour.

Installée confortablement, un verre de vin à la robe vermillon à la main, elle avait passé un long moment perdue dans ses pensées à fixer le feu sans vraiment le voir.

Vers minuit, le bruit d’une voiture qui roulait sur les graviers de l’allée l’avait tirée de sa rêverie. Les aboiements du chien avaient de nouveau retenti. Une voix d’homme avait imposé le silence, un ordre bref avait claqué sèchement. Le calme était immédiatement revenu.
Paul Douglas était donc rentré chez lui.

Alice s’était levée, soudainement frissonnante et était allée poser son verre dans l’évier de la cuisine avant de rejoindre sa chambre. Elle s’était rapidement débarbouillée et avait enfilé son pyjama avant de se glisser sous les couvertures en laissant échapper un soupir de bien-être.
Deux minutes plus tard, elle dormait déjà, étendue sagement sur le dos, comme à son habitude.

Le matin suivant, donc, elle découvrait, ravie, que le paysage qui s’offrait à elle ressemblait à s’y méprendre à celui d’une carte postale.
Le ciel portait encore les traces de la pluie de la veille. Le bleu en était délavé, presque blanc, et de pâles nuages y cheminaient lentement comme fatigués par leurs excès.
Sur les bords du lac, les arbres au feuillage or et pourpre se miraient dans l’eau comme dans un miroir, et on ne savait plus, au bout d’un moment, où se trouvait la terre, où se trouvait le ciel.
Il était, pensa-t-elle, difficilement envisageable de trouver lieu plus agréable et plus propice au repos.

Elle avait eu de la chance d’atterrir là. D’autant que seul le hasard pouvait en être tenu pour responsable !

A suivre….

Et vous ?

Qu’avez-vous pensé de ce premier chapitre de La maison du Loch ? Avez-vous envie de découvrir la suite de cette belle romance et de la personnaliser pour en devenir l’héroïne ? N’hésitez pas à partager votre ressenti dans les commentaires ! Ce livre est à personnaliser et commander sur CreerMonLivre.Com, au tarif de 39,90€ (+frais de port). Fabriqué sous 3 jours et livré partout dans le monde.

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